Matthieu Dupouy, alias Mon Jardin Plaisir sur Instagram : « Les outils Leborgne nous facilitent la vie ! »
Derrière le pseudo du compte Instagram « Mon Jardin Plaisir », il y a Matthieu Dupouy. A 34 ans, ce père de deux enfants installé près de Libourne en Gironde (33) est l’un des fidèles partenaires des outils Leborgne. Ce passionné de jardinage partage régulièrement sur son compte ses expériences, ses conseils et surtout de belles photos de son potager. Depuis près de 3 ans maintenant, il a adopté nos outils et fait part de l’usage qu’il en fait à ses abonnés. Rencontre au jardin avec Matthieu Dupouy.
Derrière le pseudo du compte Instagram « Mon Jardin Plaisir », il y a Matthieu Dupouy. A 34 ans, ce père de deux enfants installé près de Libourne en Gironde (33) est l’un des fidèles partenaires des outils Leborgne. Ce passionné de jardinage partage régulièrement sur son compte ses expériences, ses conseils et surtout de belles photos de son potager. Depuis près de 3 ans maintenant, il a adopté nos outils et fait part de l’usage qu’il en fait à ses abonnés. Rencontre au jardin avec Matthieu Dupouy.
Comment a débuté l’aventure de Mon Jardin Plaisir ?
Matthieu Dupouy : L’expérience Instagram a démarré il y a seulement 3 ans en 2020, quand je suis arrivé ici près de Libourne, juste avant le confinement. En revanche, j’ai toujours eu un petit potager. J’ai toujours apprécié ça. C’est maintenant devenu une grande passion ! J’aime être dans mon jardin, seul ou avec mon fils de 3 ans qui désormais m’accompagne régulièrement. Avant cela, en 2019, nous avions une petite maison dans le Blayais, j’avais un potager de seulement 20 mètres carrés. Quand on a déménagé ici, je suis passé à un potager de 100 m2.
Comment avez-vous fait évoluer vos cultures, avec un potager 5 fois plus grand que le précédent ?
Matthieu Dupouy : Il n’y a pas eu beaucoup d’évolutions. Il est vrai que j’aime bien tout tester, alors avec un potager plus grand, on a plus de possibilités. Je m’arrange toujours pour avoir des graines, des semences différentes pour avoir une collection assez large. Même quand je n’aime pas un légume, je le plante, je le récolte et au lieu de le consommer, je l’offre ! Les gens sont contents. Sinon, je reste sur des cultures assez classiques : les tomates, les courges, les courgettes, les radis. Et depuis peu, je cultive aussi du maïs, des pastèques ou encore des patates douces. L’idée, c’est vraiment d’avoir le plus de choses possible. J’essaie aussi de mettre en place des petits fruits rouges comme le cassis ou la fraise, et des arbres fruitiers pour avoir des pommes, des kiwis, des poires, des prunes, des clémentines et des pamplemousses. J’ai même de la vigne !
« Le jardinage, c’est savoir prendre son temps »
A travers le jardinage, quelles sont les valeurs que vous partagez ?
Matthieu Dupouy : C’est d’abord du partage. Je jardine pour offrir, pour montrer à mon petit garçon ce qu’est un artichaut ou un poireau. C’est aussi du bon sens, savoir revenir à l’essentiel, produire soi-même ses légumes, savoir d’où vient ce qu’on a dans son assiette. Et puis le jardinage, c’est savoir prendre son temps, être à l’extérieur, prendre l’air, faire le vide dans sa tête, se concentrer sur la nature, sur le partage, la transmission. Ce n’est que du bonheur d’être dans le jardin !
Grâce à votre expérience, à vos lectures, vos échanges sur les réseaux, vous avez acquis beaucoup de connaissances. Quels conseils donner à celles et ceux qui veulent démarrer un potager ?
Matthieu Dupouy : Quand on veut se lancer, il faut y aller tout de suite. Une petite superficie peut suffire. Je dirais même qu’il ne faut pas commencer avec une surface trop grande, au risque de ne pas pouvoir s’occuper de tous les légumes correctement. Il faut prendre le temps de bien faire les choses, bien se renseigner et commencer avec des cultures faciles, assez classiques comme les tomates, les radis ou les salades. Le jardinage ne doit pas être une contrainte et il faut être capable d’accepter les échecs. Chaque année est différente, la culture est très dépendante du climat. Quand ça ne marche pas, ce n’est pas grave, on apprend et on recommence l’année suivante. En ce qui concerne le temps passé dans le potager, cela dépend beaucoup de la saison et bien sûr, de la surface. Pour une superficie comme la mienne, il faut compter une bonne heure par jour. Personnellement, si je le pouvais, je passerais ma vie dans le jardin !
« Aérer la terre tout en préservant les micro-organismes »
Quel objectif vous-fixez-vous avec ce potager ?
Matthieu Dupouy : Lorsqu’avec ma femme on se demande « que va-t-on manger ce soir ? », je lui réponds souvent « allons-voir ce qu’il y a au potager ! » Notre but est de toujours avoir quelque chose au jardin. Ce n’est pas facile bien sûr. L’autonomie complète est impossible mais nous pouvons aller dans le jardin et souvent avoir suffisamment de quoi manger pour le soir, surtout en été : quelques radis, une salade, des tomates… En hiver, c’est beaucoup plus compliqué, j’ai plutôt un potager d’été qui donne de février à octobre. En hiver, je le laisse tranquillement se reposer.
Pour réussir son potager, de quels bons outils faut-il disposer ?
Matthieu Dupouy : L’outil est évidemment très pratique. Les outils Leborgne, notamment, permettent de faciliter le travail, de faire des choses qu’on ne pourrait pas faire seul. Parmi les outils très pratiques dont je dispose, il y a la Biogrif’ naturOvert de Leborgne. Avec un grand potager, sur un terrain argileux comme le mien, cet outil permet de décompacter la terre, de l’aérer tout en préservant les micro-organismes. J’ai ainsi une bonne terre qui produit de bons légumes. En plus, avec l’Emietteur naturOvert que j’ai depuis l’an dernier, je peux aller deux fois plus vite. Ce sont des outils qui nous facilitent la vie. Avec une simple bêche, j’en aurais pour la journée, alors qu’avec l’émietteur, je n’en ai que pour une heure ou deux. Grâce aux outils Leborgne, je vais plus vite et le travail est mieux fait et plus propre.
« Je vois une vraie différence avec les outils : plus de facilité, moins de temps et plus de résultats ! »
Certains outils Leborgne semblent être devenus indispensables pour vous…
Matthieu Dupouy : C’est vrai. Avant d’avoir tous ces outils, je devais déjà travailler ce sol très argileux. Je faisais un trou, je plantais, mais je n’étais pas sûr que ça prenne. Le terrain est tellement dur que les racines ne poussent pas forcément. Maintenant, grâce à mes outils, je travaille un peu la terre chaque année. La terre est de plus en plus décompactée, c’est de mieux en mieux. Après au fil de l’année, je passe le Rotogrif’ naturOvert entre les cultures et mon sol s’améliore d’année en année. Grâce au Rotogrif’, les plantes sont plus belles qu’avant, elles se développent mieux. Je vois une vraie différence avec les outils : plus de facilité, moins de temps passé et plus de résultats ! Et puis dernièrement, la Hachette loisirs duopro a été mon coup de cœur. C’est un outil très léger, esthétique. Elle me permet de couper des branchages à hauteur d’homme. Ensuite, je peux me servir du bois pour ma cheminée.
Un outil vous a-t-il surpris lors de son utilisation ?
Matthieu Dupouy : C’est le cas de l’Aérocompost naturOvert ! Lorsque je l’ai reçu, je ne voyais pas trop son intérêt. Mais en fait, ça change la vie ! Avant de l’avoir, je mettais tout dans le composteur et j’attendais plusieurs mois. Maintenant, je me rends compte qu’en mélangeant mon compost avec cet outil, cela va beaucoup plus vite, c’est vraiment très efficace. C’est maintenant un outil que j’ai à l’entrée de mon garage et que j’utilise régulièrement !
« Leborgne, c’est robustesse, qualité, esthétique et confiance ! »
Qu’est-ce qui vous a séduit dans la démarche de l’entreprise Leborgne ?
Matthieu Dupouy : Il y a plusieurs aspects. Il y a d’abord le made in France qui est très important. C’est français et en plus, c’est qualitatif ! Quand je vois sur l’étiquette des produits Leborgne « garantie 15 ans », ça me fait plaisir ! Je ne suis pas sûr que beaucoup de marques proposent ça. Surtout, ils ne sont pas vraiment plus chers. Ce sont des outils esthétiques et solides. Pour certains, je m’en sers toutes les semaines et ils sont toujours là, qu’ils aient un manche en bois ou un manche en polymère. Ils ne s’abîment pas alors que je leur en fais voir ! Pour résumer, pour moi Leborgne c’est robustesse, qualité, esthétisme et confiance !
Pour la suite, quels sont vos projets pour cette année ?
Matthieu Dupouy : En 2022, j’ai eu un deuxième enfant et le travail a été compliqué. Je n’ai donc pas eu le temps de faire autant de publications Instagram que je le souhaitais. Cette année, je compte bien reprendre un peu plus mon activité sur le réseau. En 2023, j’ai aussi l’intention d’agrandir mon potager. L’idée serait d’arriver un jour à un potager de 200 mètres carrés, c’est-à-dire de doubler la surface actuelle. Mais plus c’est grand, plus ça demande du temps. Et puis, au lieu d’être uniquement concentré sur le potager, je vais également me diriger vers le jardin que je dois aménager davantage.
« J’aime planter et voir pousser mes légumes ! »
Quel est votre plus beau souvenir de jardinier amateur ?
Matthieu Dupouy : C’était au début de mon partenariat avec Leborgne. J’avais déjà reçu et testé des outils, mais au moment de Noël, sans que je m’y attende, j’ai reçu toute la gamme d’outils pour enfant. Mon petit bonhomme commençait à peine à marcher, j’étais très content de le voir se déplacer avec son râteau et son arrosoir à la main. C’était une petite fierté ! Et maintenant, tous les soirs, il me rejoint au jardin, il veut arroser, récolter. Maintenant, il a son petit carré potager. Il l’a rempli de terre, mis des graines, des fleurs et utilise ses petits outils. Il est tout heureux d’aller voir après l’école si ses radis ont poussé. Cette transmission, c’est une belle satisfaction !
C’est ça, votre « Jardin Plaisir » ?
Matthieu Dupouy : Exactement. C’est pour cela que j’ai choisi ce pseudonyme. Mon jardin, c’est mon petit plaisir. J’aime être dehors, j’aime planter et voir pousser mes légumes. Et je compte bien continuer !